Voyages et aventures d’une exploratrice dans les terres gelées du grand nord de l’Europe

ArrivĂ©e Ă  l’aĂ©roport international d’Edinburgh en fin d’après-midi. Epouvantable jetlag (une heure de dĂ©calage horaire, surhumain). La partie anglophone de mon cerveau, très ankylosĂ©e, n’est pas encore enclenchĂ©e. La partie Ă©cossaise encore moins. L’inventer. 17h, GMT (je crois). Point de rĂ©pit en ce grand nord sauvage, mon premier interlocuteur, un chauffeur de taxi tout Ă  fait pittoresque, roule ses r … La suite !

Nicolas, vu par Josette

L’histoire est en elle-même une histoire qui touche, surtout lorsque l’on continue à se demander (comme je le fais…) comment un être humain peut choisir de tuer mais aussi de mourir pour une cause, une religion, un pays dont il ne connaissait pratiquement rien avant d’avoir fait, justement sa « hijra »… La suite !

Alpha en Ecosse

Ainsi, Edinburgh l’imprononçable est vierge de moi, le monstre du Loch Ness ne me connaĂ®t pas, la mer du nord ne m’a jamais touchĂ©e, mais je m’en vais dĂ©couvrir les Highlands (plutĂ´t les Low). Tout Ă  fait comme Christophe Colomb, qui dĂ©couvrit des Indiens dans une Cuba qu’il prenait pour le Japon. La suite !

Naissance d’un monstre

Tu as 17 ans, tu es lycĂ©en, tu t’ennuies, tu ne crois plus aux valeurs de ton pays. Tu te cherches un horizon. Sous l’influence d’autres garçons, plus barbus, plus âgĂ©s, tu pars au Sham. Dans ta Syrie idĂ©ale, tu voudrais faire naĂ®tre le califat. Et le monde serait meilleur. Pourtant tu as peur de mourir La suite !

Alpha, vu par Michael Morpurgo

Chevalier des Arts et des Lettres, Michael Morpurgo est un auteur bien connu de la jeunesse, et de Steven Spielberg : son « War Horse » a Ă©tĂ© adaptĂ© au cinĂ©ma par le King du Box-Office. Depuis qu’il a prĂ©facĂ© la traduction anglaise de mon « Alpha », je ne connais plus que lui. Longue vie Ă  Michael Morpurgo !
Lis-le et pleure. Nous pleurons car nous nous savons si chanceux, car nous faisons si peu pour ceux qui nous ont le plus besoin de nous. Si souvent, nous passons notre chemin. Si souvent, nous regardons ailleurs. Une fois que vous avez lu ce livre profondĂ©ment troublant, passer son chemin, dĂ©tourner le regard, n’est plus une option. La suite !

Mon oncle (et sa Dame rousse)

Une loi coutumière avait relĂ©guĂ© sur ces pentes arides les criminels qui s’Ă©taient rendus coupables d’un forfait assez grave pour mĂ©riter le bannissement, mais pas infâmant au point qu’ils dussent ĂŞtre punis de mort. S’ils Ă©taient capables d’Ă©chapper aux crocs des loups, ils avaient une chance de survivre. La suite !

Comment j’ai encore couchĂ© avec Chateaubriand

François-RenĂ© de Chateaubriand et moi, nous couchons ensemble tous les soirs, pendant neuf heures. Ce n’est pas bien, je sais, mais on ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Surtout entre vingt-deux heures et sept heures du matin. Le problème, c’est que depuis ma plus tendre adolescence, je souffre d’insomnie, et d’hyperacousie. Mettez-moi des boules Quiès dans … La suite !

A la recherche du temps bleu

Au nom de tous les miens, personnes fictives ou personnages de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©, aventuriers du prĂ©sent ou hĂ©ros du passĂ©, Loana, Cyrano, DSK et autres Blanche-Neige, au nom de toutes les crĂ©atures qui ont servi de viande Ă  des crĂ©ateurs plus ou moins inspirĂ©s et Ă  des crĂ©ations plus ou moins fictives, films, pièces de théâtre, Ĺ“uvres romanesques, films d’animation ou torchons biographiques, moi, Sleeping Beauty, j’accuse en bleu. La suite !

Elisabeth Louise Vigée Lebrun de Beauvoir, dite Simone

VigĂ©e Le Brun est une voie parisienne, 15ème arrondissement, fief d’une bourgeoisie semi-bohème pratiquant l’amour du migrant Ă  mi-temps. Mais c’est aussi une Elisabeth Louise, VigĂ©e dame Le Brun, peintre de son Ă©tat, peintresse si vous clitorisez. Allons enfants des nuits debout, le jour de Beauvoir est arrivĂ©. La suite !

De la gaulité dans le règne primal

En ces temps immémoriaux, cher Alexandre Dumas, je vis comme les citadogènes. Je participe à leur quotidienneté, malgré les nausées de la grossesse.
J’observe ton peuple sans interférer, car un observateur civilisé est invisible à l’oeil nu des indigènes, et à l’oeil habillé des citadogènes.
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