Zombification Ă Franceville
En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, les vivants nous enterrent pour qu’on ne les dispute pas avec nos histoires de cadavres… Mais comment faire si, après le trĂ©pas, l’on a encore quelque chose Ă dire ? Les morts ne sont-ils nĂ©s libres et Ă©gaux en droit, eux aussi ? Au nom de l’Amicale des Zombis, je tiens tout d’abord … La suite !
