C’est donc un jeudi que Liberace sâentiche dâun trĂšs beau garçon blond, virilitĂ© mĂątinĂ©e de femellitude, ĂȘtre composite tenant de l’Ă©pagneul Ă poil long et du Brad Pitt
Blog
Atelier d’Ă©criture ducobuesque – un extrait de « Cueillez-moi jolis Messieurs… »
La vie est donc faite dâhumiliations ? Si jeune et dĂ©jĂ rĂ©signĂ© ! Je suis dĂ©goĂ»tĂ©e.
Puisqu’il fait encore jour sur moi
Donc vous ĂȘtes mort, tranquille enterrĂ© refroidi ouf. Et voilĂ quâun des vĂŽtres vous exhume, photographiquement parlant sâentend, mais quand mĂȘme, il trouble votre sommeil sous prĂ©texte que lui ne dort pas.
Accouchement sous XY
Deux mains potelĂ©es soutiennent un ventre qui rebondit sous une vieille salopette.â J’accouche, Docteur.â Pardon ?â Je mets bas.
Mythologies de Roland Barthes et de Percy de Bergerac
Le monde oĂč lâon catche est un petit texte de Roland Barthes, publiĂ© notamment dans ses Mythologies (1957, naissance de la loi sur la propriĂ©tĂ© littĂ©raire et artistique, n-1 avant la cinquiĂšme rĂ©publique, n+4 aprĂšs la naissance de ma tante Marie). Roland Barthes (Automne 1915 – Printemps 1980) Ă©tait quelqu’un […]
Un chauffard de l’Ă©dition pris la main dans le sac
Un éditeur qui exploite votre livre sans contrat, ce serait comme un chauffard qui roulerait sans permis de conduire : cela appelle la plus grande prudence.
53 cm, un vieux roman toujours d’actualitĂ© (extrait)
Hollande dĂ©choit le Mali de sa nationalitĂ© : « Meâci Bwana ! »
La case de l’oncle Georges. Ou plutĂŽt son cas.
L’oncle Georges est seul Ă l’enterrement, on ne lui connaĂźt toujours pas de fiancĂ©e, mais il ne reste pas longtemps seul. TrĂšs vite, il emmĂ©nage avec sa sĆur. Elle vient de perdre son mari (le coeur)
L’oligarchie expliquĂ©e Ă un ours bernois
Prenez la dĂ©mocratie, ou la politique Ă©trangĂšre. En cette matiĂšre, le sauvage est moins retors. Jamais il ne serait venu Ă l’idĂ©e d’un ours bernois d’aller bombarder la Syrie, ou de renverser Kadhafi.
Le prince au bois dormant, miraculé du coma la droite
Je suis sorti du coma jeudi.
Un peu plus de trente ans dans les brumes, parce que nulle princesse n’est venue m’embrasser. DâaprĂšs l’infirmiĂšre, je me suis Ă©vanoui le 10 mai 1981. Elle, elle venait de naĂźtre, et François Mitterrand venait d’ĂȘtre Ă©lu.
Vous vous rendez compte ? Les socialistes ?
Offrez-vous deux bébés pour Noël !
Waura nâa jamais rien voulu partager. Cela remonte Ă notre vie intra-utĂ©rine. Un cauchemar. Surtout pour le troisiĂšme jumeau, celui qui nâest pas venu au monde
De la double nationalitĂ© facebookienne d’ArtĂ©misia Gentileschi
Je lâai rencontrĂ©e Ă Naples, vers 1629. Elle venait d’arriver dans ParthĂ©nope, sur la requĂȘte de son vice-roi, le Duc dâAlcaline. Moi, j’arrivais de Facebook, dont, suite Ă une plainte fallacieuse dĂ©posĂ©e par mon ami n° 3234, je venais dâĂȘtre expulsĂ©e. […]
Déchéance de nationalité et autres dégueulasseries de gauche
MĂšre cĂ©libataire de trois enfants de pĂšres diffĂ©rents, Marie-France nâa pas de chance : la premiĂšre exerce le mĂ©tier de tueur en sĂ©rie. Mais au moins, câest une enfant
Madame Chirac, je viens par la prĂ©sente…
– Vivant Ă la rue, monsieur le Ministre, notre frĂšre boit tou les jours et ce fait du mal en ce taillant les veines avec du verre. – Achetez-lui des bouteilles en plastique.
Pouchkine, Dumas, et moi, et moi et moi
J’exhume ici un entretien, questionnaire typiquement adressĂ© aux hybrides de couleur qui font chier le monde avec leur multicolorisme. Quand mĂȘme, s’inquiĂšte le pur-sang noir ou blanc, ils font chier le monde Ă n’ĂȘtre « ni tout Ă fait la mĂȘme, ni tout Ă fait une autre »(Verlaine, oui, je suis la femme de son rĂȘve pĂ©nĂ©trant). […]
L’agave m’aime grave, mais tonton Tati ?
Au restaurant, je commande un cafĂ© gourmand, petit fondant  chocolatĂ©, mini-crĂšme brĂ»lĂ©e, micro-gaufre coiffĂ©e de chantilly sucrĂ©e. Mais voilĂ que Tonton Tati menace : arrĂȘte avec le sucre, sinon tu vas mourir. Mourir ? je m’Ă©tonne. Et de quoi, mon Tonton ? Sardonique, Tonton me sourit suisse-allemand : Du cancer, il me dit. Tu […]
Zara dans le métro
La Seine est un ïŹeuve â jâai dâabord cru, cher Alexandre Dumas,  que câĂ©tait un marigot â oĂč naviguent dâimmenses galĂšres
Comment je me suis pĂ©tĂ© l’anĂ©vrisme
Je discutais le bout de gras devant la porte d’Alice, ma voisine de palier : Alors, ton mari, toujours alcoolique ? Sais pas, quatre ans que je lâai pas vu. Au temps pour moi. Moi, câest mon chat qui fait des siennes. Il ne veut plus entendre parler de la pĂątĂ©e de chez ED lâĂ©picier. Essaye les […]
Mademoiselle Lapompe, péripatéticienne agrée
Baisage en levrette, Savonette impĂ©riale, Voyage en terre jaune… Je lui ai tout proposĂ©, il nâa rien voulu prendre. MĂȘme pas un  glougoutage du poireau. Et pourtant, je glougloute avec de la menthe
Amours bavaroises au Togoland
Jesko Albert EugenVon Puttkamer Ă©tait beau, avait un joli prĂ©nom et le port de tĂȘte princier.