Cent ans de Bernard Dadié
Désormais écrivain, je pratiquai les foires aux bestiaux, là où se vendent des bouquins dont beaucoup finissent dans des solderie, tant pis. La suite !
Désormais écrivain, je pratiquai les foires aux bestiaux, là où se vendent des bouquins dont beaucoup finissent dans des solderie, tant pis. La suite !
Belle marquise, tes beaux yeux me font mourir d’amour. Il arrive ton galant philosophe. Il te retournera gentiment, il t’arrangera bien comme il faut La suite !
C’est donc un jeudi que Liberace s’entiche d’un très beau garçon blond, virilitĂ© mâtinĂ©e de femellitude, ĂŞtre composite tenant de l’Ă©pagneul Ă poil long et du Brad Pitt La suite !
La vie est donc faite d’humiliations ? Si jeune et déjà résigné ! Je suis dégoûtée. La suite !
Deux mains potelĂ©es soutiennent un ventre qui rebondit sous une vieille salopette.— J’accouche, Docteur.— Pardon ?— Je mets bas. La suite !
Le monde oĂą l’on catche est un petit texte de Roland Barthes, publiĂ© notamment dans ses Mythologies (1957, naissance de la loi sur la propriĂ©tĂ© littĂ©raire et artistique, n-1 avant la cinquième rĂ©publique, n+4 après la naissance de ma tante Marie). Roland Barthes (Automne 1915 – Printemps 1980) Ă©tait quelqu’un qui n’est pas n’importe qui … La suite !
Un éditeur qui exploite votre livre sans contrat, ce serait comme un chauffard qui roulerait sans permis de conduire : cela appelle la plus grande prudence.
La suite !
Hollande déchoit le Mali de sa nationalité : « Me’ci Bwana ! » La suite !
L’oncle Georges est seul Ă l’enterrement, on ne lui connaĂ®t toujours pas de fiancĂ©e, mais il ne reste pas longtemps seul. Très vite, il emmĂ©nage avec sa sĹ“ur. Elle vient de perdre son mari (le coeur) La suite !
Prenez la dĂ©mocratie, ou la politique Ă©trangère. En cette matière, le sauvage est moins retors. Jamais il ne serait venu Ă l’idĂ©e d’un ours bernois d’aller bombarder la Syrie, ou de renverser Kadhafi. La suite !
Je suis sorti du coma jeudi.
Un peu plus de trente ans dans les brumes, parce que nulle princesse n’est venue m’embrasser. D’après l’infirmière, je me suis Ă©vanoui le 10 mai 1981. Elle, elle venait de naĂ®tre, et François Mitterrand venait d’ĂŞtre Ă©lu.
Vous vous rendez compte ? Les socialistes ? La suite !
Waura n’a jamais rien voulu partager. Cela remonte à notre vie intra-utérine. Un cauchemar. Surtout pour le troisième jumeau, celui qui n’est pas venu au monde La suite !
Je l’ai rencontrĂ©e Ă Naples, vers 1629. Elle venait d’arriver dans ParthĂ©nope, sur la requĂŞte de son vice-roi, le Duc d’Alcaline. Moi, j’arrivais de Facebook, dont, suite Ă une plainte fallacieuse dĂ©posĂ©e par mon ami n° 3234, je venais d’être expulsĂ©e. Bannie de la … La suite !
Mère célibataire de trois enfants de pères différents, Marie-France n’a pas de chance : la première exerce le métier de tueur en série. Mais au moins, c’est une enfant La suite !
– Vivant Ă la rue, monsieur le Ministre, notre frère boit tou les jours et ce fait du mal en ce taillant les veines avec du verre. – Achetez-lui des bouteilles en plastique. La suite !
J’exhume ici un entretien, questionnaire typiquement adressĂ© aux hybrides de couleur qui font chier le monde avec leur multicolorisme. Quand mĂŞme, s’inquiète le pur-sang noir ou blanc, ils font chier le monde Ă n’ĂŞtre « ni tout Ă fait la mĂŞme, ni tout Ă fait une autre »(Verlaine, oui, je suis la femme de son rĂŞve pĂ©nĂ©trant). Pouchkine et Dumas, je crois, … La suite !
Au restaurant, je commande un cafĂ© gourmand, petit fondant  chocolatĂ©, mini-crème brĂ»lĂ©e, micro-gaufre coiffĂ©e de chantilly sucrĂ©e. Mais voilĂ que Tonton Tati menace : arrĂŞte avec le sucre, sinon tu vas mourir. Mourir ? je m’Ă©tonne. Et de quoi, mon Tonton ? Sardonique, Tonton me sourit suisse-allemand : Du cancer, il me dit. Tu vas mourir du cancer, ma … La suite !
La Seine est un fleuve – j’ai d’abord cru, cher Alexandre Dumas,  que c’était un marigot – où naviguent d’immenses galères La suite !
Je discutais le bout de gras devant la porte d’Alice, ma voisine de palier : Alors, ton mari, toujours alcoolique ? Sais pas, quatre ans que je l’ai pas vu. Au temps pour moi. Moi, c’est mon chat qui fait des siennes. Il ne veut plus entendre parler de la pâtĂ©e de chez ED l’épicier. Essaye les croquettes de chez Lidl. Mon … La suite !