Mythologies de Roland Barthes et de Percy de Bergerac

        Le monde oĂą l’on catche est un petit texte de Roland Barthes, publiĂ© notamment dans ses Mythologies (1957, naissance de la loi sur la propriĂ©tĂ© littĂ©raire et artistique, n-1 avant la cinquième rĂ©publique, n+4 après la naissance de ma tante Marie).   Roland Barthes (Automne 1915 – Printemps 1980) Ă©tait quelqu’un qui n’est pas n’importe qui … La suite !

Le prince au bois dormant, miraculé du coma la droite

Je suis sorti du coma jeudi.
Un peu plus de trente ans dans les brumes, parce que nulle princesse n’est venue m’embrasser. D’après l’infirmière, je me suis Ă©vanoui le 10 mai 1981. Elle, elle venait de naĂ®tre, et François Mitterrand venait d’ĂŞtre Ă©lu.
Vous vous rendez compte ? Les socialistes ? La suite !

De la double nationalitĂ© facebookienne d’ArtĂ©misia Gentileschi

      Je l’ai rencontrĂ©e Ă  Naples, vers 1629. Elle venait d’arriver dans ParthĂ©nope, sur la requĂŞte de son vice-roi, le Duc d’Alcaline. Moi, j’arrivais de Facebook, dont, suite Ă  une plainte fallacieuse dĂ©posĂ©e par mon ami n° 3234, je venais d’être expulsĂ©e.                           Bannie de la … La suite !

Pouchkine, Dumas, et moi, et moi et moi

J’exhume ici un entretien, questionnaire typiquement adressĂ© aux hybrides de couleur qui font chier le monde avec leur multicolorisme. Quand mĂŞme, s’inquiète le pur-sang noir ou blanc, ils font chier le monde Ă  n’ĂŞtre « ni tout Ă  fait la mĂŞme, ni tout Ă  fait une autre »(Verlaine, oui, je suis la femme de son rĂŞve pĂ©nĂ©trant). Pouchkine et Dumas, je crois, … La suite !

L’agave m’aime grave, mais tonton Tati ?

    Au restaurant, je  commande un cafĂ© gourmand,  petit fondant  chocolatĂ©, mini-crème brĂ»lĂ©e,  micro-gaufre coiffĂ©e de chantilly sucrĂ©e.  Mais voilĂ  que Tonton Tati menace  : arrĂŞte avec le sucre, sinon tu vas mourir.   Mourir ? je m’Ă©tonne. Et de quoi, mon Tonton ? Sardonique, Tonton me sourit suisse-allemand : Du cancer, il me dit. Tu vas mourir du cancer, ma … La suite !

Comment je me suis pĂ©tĂ© l’anĂ©vrisme

Je discutais le bout de gras devant la porte d’Alice, ma voisine de palier : Alors, ton mari, toujours alcoolique ? Sais pas, quatre ans que je l’ai pas vu. Au temps pour moi. Moi, c’est mon chat qui fait des siennes. Il ne veut plus entendre parler de la pâtĂ©e de chez ED l’épicier. Essaye  les croquettes de chez Lidl. Mon … La suite !