Ne lui donnez pas de tĂ©lĂ©phone portable, Machete donât text, he improvises
Les fĂ©es ont refusĂ© de se pencher sur son berceau. NĂ© mexicain Ă quelques jets de pierre de la frontiĂšre amĂ©ricaine, il est agent fĂ©dĂ©ral et croit pouvoir annihiler le baronnage de la drogue.  Sa naĂŻvetĂ© lui coĂ»te son insigne, sa femme, dĂ©coupĂ©e dans le sens de la largeur par le sabre d’un Steven Seagal  hispanisĂ©. Il y avait aussi un bĂ©bĂ© dont on ne verra qu’une photo. Steven a-t-il saucissonnĂ© le nourrisson ? De bas en haut ou de droite Ă gauche ? Etait-ce une fille ou un garçon ? Du lard ou du cochon ? Nous ne le saurons jamais…
Le temps passe, la mĂ©moire insiste, Machete feint l’oubli et croise le chemin d’un politicard au regard bleu azur, amĂ©ricain, vĂ©reux. Le Yankee prend l’Indien pour un journalier latino, et lui offre 150.000 dollars contre le dĂ©gommage d’un sĂ©nateur sudiste. La cible, curieusement dĂ©nommĂ©e John Mac Laughlin, oui, le guitariste virtuose, a le visage de Robert de Niro. John Mac Laughlin de Niro is a facho ! He deserves to die !
Seulement he won’t die. Niet. Le sudiste ne diera pas. CâĂ©tait un coup montĂ©, Machete Ă©tait l’appĂąt, le sĂ©nateur survit au faux attentat. Il grimpe dans les sondages et fĂȘte nuitamment sa prochaine victoire Ă©lectorale, dans des parties de chasse oĂč l’on tire le Mexicain comme le lapin.
Poursuivi par les polices les plus corrompues, harcelĂ© par les seigneurs de la drogue, Machete se venge dans l’hĂ©moglobine et trouve la rĂ©demption dans les hormones fĂ©minines… celles de Sartana, fliquette Ă talons aiguilles ( 18 cm, jâai comptĂ©), dont les lĂšvres pulpeuses plaident la cause des services de lâimmigration.
Mais Machete peut compter sur ses armes, les blanches et celle quâil a dans le pantalon, son frĂšre, un prĂȘtre pratiquant le fusil Ă pompe,  des infirmiĂšres sans culottes, et Luz la lumineuse, Che Guevera femelle qui se fait passer pour une humble vendeuse de tacos.
Et il est si laid⊠que les filles et leurs mĂšres mouillent leur culotte Ă Â son passage.  Le hĂ©ros s’offre ainsi l’honorable Ă©pouse de son pire ennemi, et sa fille, devant la webcam de ces dames : elles administrent un porno-blog.
L’on ne s’Ă©tonnera donc pas, aprĂšs pareilles humiliations, de voir la plus jeune de ces blogueuses entrer dans les ordres : elle y jouira du privilĂšge de lĂ©cher un canon… de seulement 45 mm.
D’aucunes se verront pĂ©nĂ©trĂ©es par une balle de fusil, ce qui est tout de mĂȘme prĂ©fĂ©rable au hachis de boyau. Car une balle logĂ©e dans l’oeil gauche vous autorise, mesdames, Ă vous relever pour la scĂšne finale du film, oĂč vous apparaĂźtrez nimbĂ©e de poussiĂšre, le nombril Ă l’air, les seins Ă l’abri d’un soutien-gorge de cuir, votre orbite Ă©nuclĂ©e protĂ©gĂ©e d’un cache-oeil de pirate.
they just fucked with the wrong mexican !!
Tremblez sĂ©nateurs sudistes et barons de la drogue mexicains, et toi aussi, John Mac Laughlin, et toi Ă Arizona, Machete donât text peut-ĂȘtre, mais il vous bouffera les couilles (ou les ovaires) !
Bravo ! Splendide !
Bravo ! Splendide !
Vous ne traduisez pas le titre, c’est un scandale. Et cet homme qui portent des machettes, c’est d’une vulgaritĂ©. Enfin,il faut le reconnaitre, cela est bien racoleur. JNVSTP
Vous ne traduisez pas le titre, c’est un scandale. Et cet homme qui portent des machettes, c’est d’une vulgaritĂ©. Enfin,il faut le reconnaitre, cela est bien racoleur. JNVSTP
Je le savais, ma Soeur Sourires n’est pas morte : c’est elle avec le flingue, je l’aime, oh je l’aime, c’est si bon quand elle me ligote Ă la cloche de l’Ă©glise avec le chapelet avant de se suspendre Ă la corde : c’est ce qui s’appelle « se faire sonner les cloches » ! Ah, j’aime tant lui ĂŽter ses sandalettes Ă la fin de la journĂ©e et lui laver les pieds avec la langue ! Ah, ma Soeur Sourires !!!
Je le savais, ma Soeur Sourires n’est pas morte : c’est elle avec le flingue, je l’aime, oh je l’aime, c’est si bon quand elle me ligote Ă la cloche de l’Ă©glise avec le chapelet avant de se suspendre Ă la corde : c’est ce qui s’appelle « se faire sonner les cloches » ! Ah, j’aime tant lui ĂŽter ses sandalettes Ă la fin de la journĂ©e et lui laver les pieds avec la langue ! Ah, ma Soeur Sourires !!!