
Dans le dernier épisode, un tsunami éditorial semblait remettre en cause le projet “Quand je serai grande (Titre définitif mais tout de même provisoire)”
Tombée de son petit nuage, Joranne s’est fait très mal à l’atterrissage. Bessora beaucoup moins : les écrivains sont des cascadeurs (sauf ceux qui se suicident). Néanmoins, Bessora n’a-t-elle une obligation morale à l’égard de Joranne ? Souvenez-vous, la promesse de l’épisode 4. Alors Joranne lui dit comme ça :
– Souviens-toi, la promesse de l’épisode 4
Désormais, les deux femmes se tutoient. Bessora dit comme ça :
– Oh moi, tu sais, je n’ai aucune inquiétude.
– J’entends bien, mais…
– Allez Joranne ! On se remet au travail ! Hop ! Hop ! Hop !
Nos deux héroïnes relisent le récit de Joranne, l’améliorent encore, si une telle chose est possible parce qu’il est tellement bien. Passent les jours, les semaines, les mois… pas de contrats. Y croire encore relève d’une performance, digne de la foi qu’on accorde au Père Noël. Pourtant, c’est vrai, chaque année le Père Noël emprunte nos cheminées pour récompenser les enfants sages. Et puisque Joranne et Bessora sont des enfants sages, un jour, peu avant la grande migration de Santa Klaus, Margaux La Voix Grave les convie à un petit-déjeuner. Avec des chouquettes.
Les contrats sont-ils sur la table ? Oui, comme les cadeaux bientôt sous le sapin !
Ne reste qu’à les déballer…
Que révèlera le déballage des contrats et des cadeaux de Noël ? Et Donald Trump ? Se verra-t-il offrir le Groenland, la gouvernance mondiale et le prix Nobel de la paix par le Père Noël ?
Le dénouement… au prochain et dernier épisode
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