So sweet, so kitch, so tragic Liberace

Outre son doigté au piano (mais pas que),  les femmes l’adoraient. Surtout les grand-mères teintes en bleu. Et lui adorait les garçons, qui le lui rendaient bien (le doigté toujours, mais pas que). Il aimait aussi les costumes à fourrure et les perruques à frisures. Mais il aimait peu sa mère :  délicat passage de l’étouffant vagin à la naissance. Sans … La suite !