L’avortement est une affaire privĂ©e. Radions les coĂ»ts de l’interruption de grossesse de l’assurance pour allĂ©ger la sĂ©cu. Tu payes ou t’interromps pas, et ce sera bien fait pour ta gueule, ta grossesse est le prix de ton pĂŞchĂ© de chair. ‘Tain, y a pas la pilule aujourd’hui ? Comment t’as fait pour te retrouver dans cet Ă©tat de pute ou de femme mariĂ©e ?
La grossesse est une affaire privĂ©e. Radions les coĂ»ts de la maternitĂ© des cotisations salariales pour allĂ©ger les charges sociales. Tu payes ou t’interromps pas, et ce sera bien pour ton cul, l’accouchement est le prix Ă payer pour ton pĂŞchĂ© d’envie, espèce de jalouse des autres mamans. Tu pouvais pas accoucher Ă la maison, non ?
Le cancer est une affaire privĂ©e. Radions les coĂ»ts de la chimiothĂ©rapie – et de l’hormonothĂ©rapie aussi – pour allĂ©ger les impĂ´ts sur la valeur ajoutĂ©e (Ă 0,00%). Tu payes ta radiothĂ©raphie ou t’interromps pas, et la mĂ©tastase t’interrompras. Ce sera bien fait pour ta gueule de tumeur, ton cancer est le prix Ă payer pour ton pĂŞchĂ© de gourmandise. Y suffisait de boire un litre et demie d’eau par jour, de lire David Servan-Schreiber et d’arrĂŞter de fumer ! Est-ce que c’était trop demander espèce de cancĂ©reux ?
Le chĂ´mage est une affaire privĂ©e. Radions les coĂ»ts de l’indemnisation des oisifs  pour allĂ©ger les prĂ©lèvements obligatoires. Tu payes ou t’interromps pas la prĂ©caritĂ©, et c’est bien fait pour ta gueule, ton chĂ´mage c’est le prix de ton pĂŞchĂ© de paresse. ‘Tain, y suffisait de te bouger un peu les fesses, debout les morts, il est six heures du matin ! et t’étais esclave salariĂ©. Tu t’es interrompu du marchĂ© du travail, tu coĂ»tes trop cher Ă la sociĂ©tĂ©, comme l’immigration de masse avec son orgueil, sa colère et son avarice. En Appenzell au moins on travaille sans recourir Ă l’avortement, et après on consomme de l’Appenzeller Bier sans recourir au cancer de la vessie.
L’existence est une affaire privĂ©e, bande d’orgueilleux qui avez eu la prĂ©tention de venir au monde et d’y rester, moi je vais te radier les coĂ»ts de l’existence, y a qu’à voir l’azote que tu dĂ©gages rien qu’en expirant, ton azote c’est de l’ozone, pollueur, et le mĂ©thane que tu disperses dans les champs de colza rien qu’en chiant, et pis tu gueules pour un rien, la colère c’est pĂŞchĂ©, la sociĂ©tĂ© tu lui rends pas service tu lui pèses tu la baises, espèce d’avare reproducteur que tu es, alors fini les charges sociales les allocations familiales la sĂ©cu et les services publics, tickets de rationnement pour l’oxygène et l’utilisation des toilettes, purge minimale, purge-toi minimalement, et recyclage des cadavres indignes en tablettes alimentaires dĂ©shydratĂ©es et Ă©conomiques.
‘Tain tu peux pas crever dans ton coin sans faire chier tout le monde Ă la fin ?
François Prunier says
Alors, dans ce cas, donnez-nous le droit Ă l’euthanasie ! Ce sera un accord gagnant-gagnant !
François Prunier says
Alors, dans ce cas, donnez-nous le droit Ă l’euthanasie ! Ce sera un accord gagnant-gagnant !
Le vrai et seul Bruno says
Elles se sont fait engrossĂ©es et elles voudraient que l’on paye les pots cassĂ©s. Mais oĂą va-t-on ? Lorsque je dĂ©sire un objet, j’assume son achat et sa perte. Il faut dire que depuis les mouvements de libĂ©rations, on entend qu’elles. Que pense le bĂ©bĂ© dans tout cela ? Personne ne lui pose la question.
JNVSTP
Le vrai et seul Bruno says
Elles se sont fait engrossĂ©es et elles voudraient que l’on paye les pots cassĂ©s. Mais oĂą va-t-on ? Lorsque je dĂ©sire un objet, j’assume son achat et sa perte. Il faut dire que depuis les mouvements de libĂ©rations, on entend qu’elles. Que pense le bĂ©bĂ© dans tout cela ? Personne ne lui pose la question.
JNVSTP