Annie et Anny aiment les sucettes à l’anis, la saucisse à Dutroux et les pulls à mamie Jacquard.
Mariées toutes deux au même polygame, elles ont vingt-huit ans chacune mais pas une dent de sagesse, les couettes sur la main et le serre-tête en l’air. La vraie brune et la fausse blonde irradient d’un bonheur couleur l’Oréal, qui se reflète dans leur sourire Ultra-Brite et leurs cils factices. La sucette et la saucisse sont causes de leur bonheur, mais aussi les chaussettes Jacquard de leur mari commun : souventes fois, Benoît les fessent l’une après l’autre sous prétexte qu’elles ne savent pas faire le café.
Ni Annie ni Anny n’osent renverser leur tortionnaire, elles l’aiment bien, il finira par changer. Alors sur qui se défouler ? Les enfants ? Elles en possèdent un chacune, une Valentine de 5 ans et un Léo de 8 mois. Jamais elles ne les ont les maltraités, le destin s’en est suffisamment chargé : l’année dernière, les enfants étaient trois ; le second fut oublié dans une voiture sous canicule ; les petits ne furent plus plus que deux.
Benoît renouvela le parc automobile de la maison. Mais le drame de la déshydratation n’épargna pas aux mères leur fessée quotidienne.
Ce matin, elles roulent vers la campagne voisine, pour y capturer un animal de compagnie. Une ferme se présente. Elles y demandent un chat, un chiot ou un lapin. On leur propose un cochon. Elles se laissent émouvoir par la bête et se l’offrent pour 3 euros par kilo de gras. Une remise spéciale leur est offerte : c’est jour de saint-Valentin et l’animal est grippé façon H1N1.
Le cochon chargé les quatre fers en l’air dans leur coffre, les co-épouses regagnent la douceur du foyer. Le cochon est libéré du coffre, puis séquestré dans le chambre de Léo, huit mois. Où est Léo, demande Annie quoiqu’elle ne soit pas sa mère ? Dans son bain, répond Anny. Il adore l’eau, Léo, et l’eau le lui rend bien.
Enfermées avec le gros cochon, les femmes battues le fessent tour à tour, lui jetant des injures dans le groin, lui promettant d’en faire un sandwich au jambon. A moins, bien sûr qu’il ne sache faire le café ?
Mais le porc ignore les arts de la table. Bientôt, il se lasse d’une torture digne de Guantanamo. Ses geôlières s’en vont prendre une pose, et le fourbe se suicide lâchement.
Ivres de rage, les dupées recollent les tranches de saucisson pour reconstituer le cochon. Puis elles tentent de le ranimer, sous forme de juste sèche Justin Bridou. C’est alors que Léo échappe à sa bassine, sous prétexte que l’eau en est trop froide et souillée d’excréments.
L’enfant étouffe sous le poids du cuivre sanitaire. Il braille tout son soûl. Il réclame du savon. Du savon Pear, por favor, il est si transparent, bring me my fuckin’ soap mama ! Il y en a plein Oxford Street, Londres, marque déposée en juillet 1789.
Mais personne pour secourir le morveux sur-hydraté. Ni Annie, ni Anny, pas même Valentine. La grande soeur court les casting, elle adore ça, les photographes l’adorent.
Pendant que son frère appelle le savon, Valentine fait la promotion de vibromasseurs mécaniques. Ouvre encore un peu la bouche, lui dit son gentil photographe, et je te ferai goûter ma pipe. Valentine is sexy in a very special way : comme ses mamans, elle aime les sucettes à l’anis même si elle n’a pas été fessée. Qu’elle apprenne d’abord à rater le café.
Le soir tombe, Benoît rentre à la maison (il est concessionnaire Citroën). Un robot ménager l’accompagne.
Kenwood is good for you. Annie et Anny sont ravies. Le petit cadeau fait oublier la fessée du matin et garantit celle du lendemain.
Cependant, chez les voisins, le carreau Paul Fourticq remplace le losange Jacquard de Mamie.
Et ça, c’est moi dans mon cabinet de toilette.
Vous l’aurez constaté vous-même, j’ai un sérieux problème de vessie.
Ce que c’est con un cochon ! Moi qui n’est plus de couilles (étant un poulet), j’aurais vendu mon bec pour être à sa place ! Aaaaa être cuisiné par une blonde et une brune, quel panard !
Ce que c’est con un cochon ! Moi qui n’est plus de couilles (étant un poulet), j’aurais vendu mon bec pour être à sa place ! Aaaaa être cuisiné par une blonde et une brune, quel panard !
Entre cochon et café, mon coeur balance !
Je n’en ai pas fini avec vous Madame Bessoraou (ça rime) !
JNVSP
Entre cochon et café, mon coeur balance !
Je n’en ai pas fini avec vous Madame Bessoraou (ça rime) !
JNVSP
Plus déjanté, tu meurs !
Plus déjanté, tu meurs !
Encore une fois à coté du sujet ! Et pourtant… Et pourtant vous teniez là, juste entre vos mains un article de choix. Qui était Monsieur Kenwood ?
Et bien, permettez moi de vous rafraichir la mémoire.
Monsieur Kenwood qui en avait assez de rentrer chez lui et voir sa femme s’affairer derrière les fourneaux, inventa un objet remarquable : Le robot « Kenwood ».
L’histoire de Kenwood remonte à plus d’un demi-siècle quand Monsieur Kenneth Wood fonda une entreprise dans le sud de l’Angleterre pour fabriquer des appareils ménagers. Le premier produit, lancé en 1947, était un grille-pain. Monsieur Wood l’avait signé avec son nom, Ken Wood. Une grande marque venait de naître. Le modèle rencontra un vif succès commercial. Rapidement Kenwood se développa et lança en 1950 des robots culinaires innovants, au design original et construits pour durer.
Dès la création de Kenwood, Kenneth Wood a insufflé à ses équipes et aux produits, des valeurs fortes comme le design, l’innovation et la qualité. Aujourd’hui encore, le design des produits Kenwood est au-delà des modes et de l’éphémère. Les appareils sont beaux et intemporels.
Donc comme vous pouvez le remarquer, la libération de la femme est née en même temps que ce magnifique outil culinaire.
Je n’ose à peine parler des parties de jambes en l’air qui apparurent dès les années 50 et cela au meilleur moment de la journée, c’est à dire au retour du travailleur au foyer.
JNSVP
Encore une fois à coté du sujet ! Et pourtant… Et pourtant vous teniez là, juste entre vos mains un article de choix. Qui était Monsieur Kenwood ?
Et bien, permettez moi de vous rafraichir la mémoire.
Monsieur Kenwood qui en avait assez de rentrer chez lui et voir sa femme s’affairer derrière les fourneaux, inventa un objet remarquable : Le robot « Kenwood ».
L’histoire de Kenwood remonte à plus d’un demi-siècle quand Monsieur Kenneth Wood fonda une entreprise dans le sud de l’Angleterre pour fabriquer des appareils ménagers. Le premier produit, lancé en 1947, était un grille-pain. Monsieur Wood l’avait signé avec son nom, Ken Wood. Une grande marque venait de naître. Le modèle rencontra un vif succès commercial. Rapidement Kenwood se développa et lança en 1950 des robots culinaires innovants, au design original et construits pour durer.
Dès la création de Kenwood, Kenneth Wood a insufflé à ses équipes et aux produits, des valeurs fortes comme le design, l’innovation et la qualité. Aujourd’hui encore, le design des produits Kenwood est au-delà des modes et de l’éphémère. Les appareils sont beaux et intemporels.
Donc comme vous pouvez le remarquer, la libération de la femme est née en même temps que ce magnifique outil culinaire.
Je n’ose à peine parler des parties de jambes en l’air qui apparurent dès les années 50 et cela au meilleur moment de la journée, c’est à dire au retour du travailleur au foyer.
JNSVP
Mouais, moi je préfère Kitchenaid.
Mouais, moi je préfère Kitchenaid.
Share, c’est tout un histoire que tu nous a ramené là. C’est quand même divertissant le truc de cochon et du café, c’est un peu con mais ça va… Mais je n’ai pas bien compris le « …j’ai un problème de vessie… »
Hihihi! Génial le truc… Et vous préférez quoi???
Le bacon ! Avec un oeuf sur le plat. Et une orange pressée.
Share, c’est tout un histoire que tu nous a ramené là. C’est quand même divertissant le truc de cochon et du café, c’est un peu con mais ça va… Mais je n’ai pas bien compris le « …j’ai un problème de vessie… »
Hihihi! Génial le truc… Et vous préférez quoi???
Le bacon ! Avec un oeuf sur le plat. Et une orange pressée.