François Prunier m’est cher, comme personne et comme écrivain. Cette gueule d’ange un peu boutonneux dévoile un masochisme très mature dans son dernier livre Ma Laisse, une laisse numérique pour le moment mais très prochainement de papier. Il m’impressionne. Sans compter que de Nicolas, il ne pense que du bien (je veux dire du livre…)